04 Déc. 2020
Dans les premières semaines de la crise COVID-19, les pays ont été contraints de prendre des mesures qui ont souvent eu des effets secondaires indésirables dans les zones frontalières : difficultés à franchir les frontières, différences dans les permis spéciaux, régimes de quarantaine, mesures de soutien, ... Ceci a parfois entraîné un manque de clarté dans les zones frontalières pour les personnes qui avaient l'habitude de traverser la frontière chaque jour sans entrave pour leur travail.
Cette première période est maintenant passée et, bien que toujours en pleine crise, les premières leçons peuvent être tirées. C'est précisément dans ce but que des représentants de haut niveau des ministères du travail des trois pays du Benelux, y compris des régions et des communautés et du Land allemand de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, se sont réunis aujourd’hui. Les délégations du groupe de pilotage stratégique Benelux sur la mobilité du travail transfrontalier ont fait ensemble le point sur les effets de toutes ces mesures sur la mobilité du travail transfrontalier et ont expliqué l'impact des différentes mesures prises dans les pays sur les zones frontalières.
Sous la direction du Secrétariat général de l'Union Benelux, les différents pays étudient actuellement comment mieux se préparer à l'avenir à une situation de crise d'un nouveau type et éventuellement différent.