28 Sep. 2010
28-09-2010|C’est aujourd’hui à Anvers qu’a été donné le coup d’envoi au projet d’enseignement ‘Verbonden in Veiligheid’, en présence du secrétaire général du Benelux, monsieur Jan P.R.M van Laarhoven. Le secrétariat Benelux à Bruxelles met en effet son réseau et son expérience à la disposition de la mise sur pied, du développement et de la réalisation de ce projet.
Avec l’appui de l’Europe et des provinces d’Anvers et du Brabant septentrional, une dizaine de partenaires publics et privés de Flandre et des Pays-Bas veulent mettre en place des formations transfrontalières en matière de sécurité. Dans cette région, avec de nombreuses activités portuaires et économiques, il est nécessaire d’avoir du personnel formé pratiquement pour gérer des problèmes de sécurité transfrontaliers et stopper les phénomènes de délinquance.
Grâce à l’approche transfrontalière de ce projet, l’intention est de permettre aux diplômés de ces nouvelles formations de trouver plus facilement du travail de l’autre côté de la frontière et mieux coopérer, étant donné qu’ils auront les mêmes bases de formation.
Le Benelux stimule
Le thème de la sécurité est devenu l’un des trois piliers de la coopération entre les trois pays avec la signature du nouveau traité Benelux en 2008. Tous les efforts se concentrent donc sur ce thème pour obtenir des résultats concrets sur le terrain.
Dans la phase de lancement du projet ‘Verbonden in Veiligheid’, le Secrétariat général s’est chargé de réunir les divers partenaires. Grâce à son expérience dans un projet d’enseignement transfrontalier similaire ‘Internationaal Ondernemen’, le Benelux a rassemblé en un minimum de temps tant les établissements d’enseignement concernés (UAMS, Plantijn Hogeschool, Avans Hogeschool) que les partenaires publics et privés (port d’Anvers, chambres de commerce,..) des deux pays.
Le Benelux préside aussi le comité de pilotage de ce projet afin de garantir un travail efficace et orienté résultat.
De par son réseau étendu, le Benelux se charge d’informer les autres acteurs de terrain (comme les services de police, les centres de crise, …) et de les associer au projet. Il est essentiel de répondre aux besoins réels sur le terrain.